


En 2025, j'aimerais donc ça être plus douce avec moi-même. Mon autocritique fait des ravages. En 2024, je m'étais donné dans ce webcarnet le défi d'être plus courageuse. C’est chose faite.
Je voulais chasser le mot peur de mon vocabulaire. Cela a fonctionné. Cette dernière année fut sous le signe de grandes émotions, de voyage et de gains de confiance.
2024 en quelques points
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Première année de deuil de ma mère adorée;
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Voyage dans l'Ouest américain;
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Voyage dans le Grand Nord, aux monts Torngat;
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Admission à l'École hôtelière de la Capitale au DEP en cuisine enrichie
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Vous pourrez lire sur ce site, ce qui me fait vibrer et les apprentissages que je ferai au quotidien en 2025,
Ces apprentissages se font souvent au prix d'autocritiques acerbes envers moi-même. Ça me coupe dans mes élans et mon besoin d'émancipation. J'y arrive, mais j'aimerais que cela se fasse plus doucement.
Après la peur, je m'engage à développer mon estime et mon mieux-être. Allons vers la LIBARTÉ, comme dirait l'autre ;).
Ce blogue n'a pas pour but de me prendre au sérieux ou de donner des leçons de vie à qui que ce soit. Je suis la première à vouloir apprendre. Apprendre de moi, de vous et du vaste monde. Tant mieux, si au passage cela en inspire quelques-uns.
Yé.

Pourquoi La Renarde ?
![]() | ![]() | ![]() Ma mère avec une sculpture du renard dans Le Petit Prince sur la Costa Brava en Espagne | ![]() Carte de souhaits offerte à ma mère l'an dernier | ![]() Porte-clés offert à ma mère par ma nièce | ![]() M et R assemblées forment les initiales de mon nom - Maud Rusk. Utilisées depuis 1998 |
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La Renarde est un surnom reçu durant mes années universitaires en théâtre. Je rêvais d'absolu et de liberté. J'aimais l'intensité des grands dramaturges, comme Grotowski et Antonin Artaud. J'y ai découvert la danse et l'attrait pour LE politique. Mes professeurs étaient engagés dans la compréhension du monde et nous proposaient des réflexions qui me faisaient grandir.
C'était mon nom de rêveuse et d'écrivaine en devenir, mon nom de femme mystérieuse (Rires). J'ai conservé un intérêt pour cet animal que je n'ai jamais encore rencontré dans la nature.
Dans les dernières années de vie de ma mère, nous avons constaté que nous avions la même joie à aimer le renard. Maman avait une affection sans bornes pour le récit du Petit Prince, histoire où Saint-Exupéry fait la part belle à cet animal. J'ai relu Le Petit Prince durant ses derniers jours de vie.
« On ne voit bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux » dit le renard.
Son absence est déchirante, mais effectivement, il ne me reste que le coeur pour te regarder, toi mon essentielle.


